
« Dans le système digestif d’un animal, les vers doivent littéralement « nager » pour survivre », explique Lucien Rufener, CEO d’INVENesis. « Or dans tous les tests utilisés actuellement pour la découverte de nouveaux vermifuges, les nématodes sont « passifs » et stagnent au fond du puit de la plaque. » Le nouveau dispositif requiert quant à lui un déplacement des vers d’un point A à un point B. « Nous pouvons analyser les effets d’une substance expérimentale sur ces déplacements, et éliminer très rapidement les composants qui ont peu de chance d’être actifs, une fois dans l’animal ».